C’est dans ce contexte que Teale a souhaité aller au-delà du buzz technologique et nous poser une question simple :
Que fait réellement l’IA au travail… et à la santé mentale des salariés ?
En tant que cabinet de recherche-appliquée aux organisations spécialisé dans les mutations du travail, le CEMS a été associé à cette réflexion : Tanguy Mousserion, directeur du CEMS, est membre du Conseil scientifique de Teale et participant du Guide pratique « IA & Santé mentale » paru à la suite de la conférence Mentalshift.
Au CEMS, notre conviction est simple :
Un changement non expliqué devient un risque. Un changement préparé devient une culture.
Autrement dit, l’IA ne doit pas être pensée uniquement comme un gain de productivité ou un avantage compétitif, mais comme une transformation structurelle du travail :
Ces transformations ont des effets directs sur la santé mentale : sentiment d’utilité, reconnaissance, estime de soi, capacité à se projeter, risques psychosociaux émergents (dépendance à l’IA, sentiment d’injustice, isolement, surcharge, etc.).
Notre rôle, au CEMS, est de mettre ces dynamiques en lumière, de les documenter et de proposer des leviers d’action qui respectent à la fois la réalité économique des organisations et la soutenabilité du travail.
Mentalshift “IA et santé mentale” – Teale – 6 novembre 2025
Le guide publié par Teale s’inscrit dans cette logique. Il repose sur un parti pris fort :
La contribution du CEMS s’est articulée autour de plusieurs axes :
Le guide décrit les grandes conséquences déjà observables : baisse de compétences et de sens lorsqu’on « délègue » trop à l’IA, intensification des cadences mentales, complexification des organisations et renforcement du contrôle.
Nous avons travaillé sur les liens entre IA et RPS : surcharge informationnelle, fatigue décisionnelle, sentiment d’injustice face à des décisions opaques, dépendance cognitive et émotionnelle aux outils d’IA, fragilisation du collectif, etc.
Le guide ne se limite pas au constat. Il propose une série de 10 leviers pour piloter la transformation IA plutôt que la subir : diagnostic de maturité, préparation et accompagnement du changement, « écologie du travail » pour réduire la surcharge cognitive, cartographie des innovations pertinentes, mesure de l’impact de l’IA sur la santé mentale, promotion d’usages apprenants de l’IA, etc.
Cette approche rejoint la méthode du CEMS : recherche-appliquée, co-construction avec les équipes, et outillage des décideurs (diagnostics, baromètres/tableau de bord, dispositifs d’enquête, ateliers, formations).
Concrètement, le Guide pratique « IA & Santé mentale » publié par Teale est :
Ce guide est destiné à celles et ceux qui, dans les organisations, veulent :
Dans la continuité de cette collaboration avec Teale, le CEMS accompagne les entreprises et institutions qui souhaitent :
Pour en savoir plus sur nos missions autour d’IA et santé mentale, ou envisager un accompagnement sur mesure, vous pouvez nous contacter.
Parce qu’au fond, une question traverse toutes les autres : Comment faire en sorte que l’IA ne remplace pas l’humain, mais l’aide à mieux travailler et à mieux vivre ?
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